Benito Correa Rebolledo |
a Julien Vocance
Pomeriggio del medesimo giorno. Leggera, tu muti e,leggeri, la sabbia e il mare mutano.
Mirabile è a noi l'ordine delle cose, l'ordine delle pietre,
l'ordine delle luci, l'ordine delle ore. Ma quest'ombra che
scompare e quest'elemento doloroso, che scompare.
A sera, la nobiltà partecipa di questo cielo. Qui ogni cosa
si contrae in un fuoco che si spegne.
Sera. Il mare non ha più luci e, come una volta, tu potresti
dormire nel mare.
*********
à Julien Vocance
L'après-midi du même jour. Légère, tu bouges et, légers, le
L'après-midi du même jour. Légère, tu bouges et, légers, le
sable et la mer bougent.
Nous admirons l'ordre des choses, l'ordre des pierres,
Nous admirons l'ordre des choses, l'ordre des pierres,
l'ordre des clartés, l'ordre des heures. Mais cette ombre qui
disparaît et cet élément douloureux, qui disparaît.
Le soir, la noblesse fait partie de ce ciel. Ici, tout se blottit
Le soir, la noblesse fait partie de ce ciel. Ici, tout se blottit
dans un feu qui s'éteint.
Le soir. La mer n'a plus de lumière et, comme aux temps
Le soir. La mer n'a plus de lumière et, comme aux temps
anciens, tu pourrais dormir dans la mer.
Nessun commento:
Posta un commento